gedaan.

7 Augustus 1594.

Sire! Apres 1'offre de nos amiables et affectionez services , et de tout ce que nous avons de cher etc.

Les lettres de vostre Ma1* escrites Ie 4 Juillet au camp devant Laon (l)nous ont este rendues Ie 21 du- dit mois. Desquelles, comme aussy de celles que votre Mat* a escrites a notre cousin et fils 1'Administrateur de Strasbourg etc. nous avons amiablement et hurable- ment entendu la bonne 'affection qu'elle porte a la mai-

son Electorale de Brandenbourg etc Avec ce,

nous ne pouvons celer a votre Mat* qu'en la diête a Regensbourg entre autres choses on a parlé des moyens de faire la paix aux Pays-Bas. Et combien que nous cogneussions oucela tendoit(2), Nous n'avons tou- tesfois point eu de raison de l'empescher, seulement

(1) De cursijf gedrukte woorden waren in het origineel onder streept.

(2) Men ontwaart uit deze woorden , dat de schrijver des keizers voorslagen ter bevrediging der Nederlanden , als ter kwader trouw en met bijzondere inzigten gedaan, beschouwde; zoo dachten ook anderen.; merkwaardig is onder anderen een brief van den heer ïamdorff, uit Heidelberg aan Joh van

,-, . Oldenbarneveld geschreven, bij Bor , B. XXXI. bl. 57 , die de zaak beschouwt als een middel om oproer te verwekken . onder het volk en het leger tegen den prins en de staten op te rokkenen.

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avons donné eest advis , si on se resolvoit a traiter de

paix en ces quartiers la , qu'il seroit bon, si on vou-

loit desraciner le mal, que vostre Maté et la Royne

d'Angleterre y fussent appellez. Ce que la plus part

autres Princes et Electeurs ont trouvé bon. Or ne sca-

vons nous pas, quelle est la commodité de vostre

Ma'é en ce fait, ny ce qui s'y passera doresnavant,

toutesfois, desirans le bien et prosperité de vostre

Mate' autant qu'elle mesmes, nous n'avons peu omettre

de l'avertir de ce point, et ne doutons que cependant

elle ne songe a ce qui sera de sa commodité, et a l'ad-

vis qu'elle en voudra donner aux Estats, si par cy apres

ils en estoient recherchez. Et si en ce fait nous

pouvons quelque chose pour le bien de vostre Maté ,

nous nous y employerons sans difficulté volontairement.

Nous avons voulu faire savoir ce que dessus a vostre Maté pour advis et amiable responce. Et nous offrons a luy rendre tousjours agreable et affectionné service. Et prions Dieu de ceur, qu'il luy donne en longue santé , heureux gouvernement de son estat.

Donné a 7 Août 1594.

Par la grace de dieu George Frideric Mar quis de Brandenbourg, duc de Prusse, Stetin, Pomeranie , des Cassubes et Van dales et de Jegerndorf en Silesie ete. Burggrave de Nurenberg , Prince de Ruge etc.

George Frideric.